Stravinski par le Centre chorégraphique national Malandain Ballet Biarritz

le 04 oct.

Contribution externe

Théâtre de Gascogne

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Une ôde à la danse et à la musique pour 22 danseurs.

Pour revisiter L’Oiseau de feu et Le Sacre du printemps d’Igor Stravinski, deux classiques des ballets russes, Thierry Malandain et Martin Harriague sont revenus à leur source vive.

Thierry Malandain, directeur du Centre Chorégraphique National Malandain Ballet Biarritz, rend à l’oiseau du conte originel sa spiritualité biblique de « passeur de lumières » entre ciel et terre, chargé d’apporter aux hommes consolation et espoir.

De son côté, Martin Harriague, artiste associé au regard percutant dont nous avons accueilli Gernika la saison passée, met en scène la pulsion tellurique du vivant. A couper le souffle !

Un bord de scène avec Thierry Malandain et Martin Harriague est proposé avant ou après la représentation.

Sa pièce est d’une incroyable beauté à la fois légère et passionnée, souple et d’une parfaite solidité. Des ensembles qui ressemblent à des nuages tant les danseurs apparaissent aériens, d’autres instants la nature et les oiseaux sont rayonnants [...] (la) chorégraphie convoque les notes, les instruments, la partition de Stravinski. Cette impression de confrontation et d’union est d’une grande singularité.
Citation de Sophie Lesort, Danser canal historique

Le saviez-vous ?

Thierry Malandain occupe le fauteuil numéro 1 de la section « chorégraphie » récemment créée à l’Académie des beaux-arts. Une étape importante qui célèbre un artiste dont la danse maîtrise la grammaire classique et une expression résolument actuelle.

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